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CIVIS3i – AAP CIVIS3i

Reproduction ci-après du courriel DRV de Nicolas GOCHARIAN du  LUN 19 07 2021 à 15h08 (semaine 29) destiné aux unités :

----- début de la reproduction du courriel précité

Mail à l’attention de l’ensemble des listes de diffusion thématiques ainsi que des VP thématiques

Bonjour à toutes et tous,

L'équipe du projet CIVIS3i a le plaisir de partager avec vous l'annonce du premier appel.

Revue « Crime, Histoire et Sociétés » - « Prix Herman Diederiks en histoire du crime et de la justice pénale 2021 » - date limite de participation : avant 31 octobre 2021

Présentation du dispositif       

En hommage à son président-fondateur, l'International Association for the History of Crime and Criminal Justice (IAHCCJ) a institué un prix destiné à récompenser un article original, relatif au domaine, largement entendu, de l'histoire de la criminalité et de la justice pénale et écrit par un chercheur en début de carrière.

Margaux Dominati
Spécificité du parcours. A la suite d’un Master 1 « Droit privé et sciences criminelles », réalisé au sein de la Faculté de droit et de science politique d’Aix-Marseille Université, j’ai eu l’opportunité d’intégrer le Master 2 « Droit de l’exécution des peines » en septembre 2018, dirigé par Madame le Professeur Muriel Giacopelli. Au-delà de la rareté du parcours proposé, qui ne connaît que deux équivalents à l’échelle nationale, les principaux atouts de la formation résident, selon moi, dans la qualité des enseignements dispensés. D’abord, pa […]
Margaux Dominati
Spécificité du parcours. A la suite d’un Master 1 « Droit privé et sciences criminelles », réalisé au sein de la Faculté de droit et de science politique d’Aix-Marseille Université, j’ai eu l’opportunité d’intégrer le Master 2 « Droit de l’exécution des peines » en septembre 2018, dirigé par Madame le Professeur Muriel Giacopelli. Au-delà de la rareté du parcours proposé, qui ne connaît que deux équivalents à l’échelle nationale, les principaux atouts de la formation résident, selon moi, dans la qualité des enseignements dispensés. D’abord, par le biais d’une formation théorique, prodiguée par plusieurs spécialistes de la matière, qui se révèle être indispensable à l’appréhension des milieux pénitentiaire et judiciaire chargés de l’exécution des peines. Ensuite, grâce à des enseignements transversaux, communs à plusieurs parcours du Master 2 Droit pénal, permettant à la formation de s’inscrire dans une continuité des connaissances acquises au cours du cursus universitaire.  Enfin, le parcours « Droit de l’exécution des peines » propose plusieurs enseignements pratiques, réalisés par une grande diversité de professionnels en exercice (avocats, magistrats du siège et du parquet, personnels pénitentiaires, milieu associatif). Cette approche a un double intérêt. D’une part, elle permet de démontrer la réalité de la pratique professionnelle, à l’aube du passage d’un concours, et donc éventuellement de conforter ce choix. D’autre part, elle aborde le droit de l’exécution des peines sous une approche humaniste, afin de mieux comprendre les enjeux réels et les problématiques liées à la discipline. Séminaire de criminologie. Pour la plupart des étudiants ayant bénéficié de cette formation, un de ses atouts majeurs réside dans le séminaire de criminologie, dispensé au sein de l’établissement pénitentiaire d’Aix-Luynes 2, qui en renforce à la fois la spécificité et la richesse. Directement au contact des personnes détenues au sein d’un centre pénitentiaire, ce séminaire permet initialement de traiter de sujets relatifs au crime. Mais également, il permet d’en apprendre davantage sur la réalité pénitentiaire et de bénéficier de témoignages de la part des personnes placées sous main de justice. Stage. Le stage obligatoire devant être réalisé à la suite de la formation universitaire dispose de plusieurs avantages. D’abord, parce que l’entrée au sein même d’un établissement pénitentiaire constitue, selon les profils et les ambitions professionnelles, une opportunité parfois unique. Ensuite, plus prosaïquement,  il permet de rentrer en contact avec les professionnels chargés de l’exécution des peines, et donc de pouvoir éventuellement se constituer un futur réseau. Ensuite, du fait de la réputation du Master et de la liberté de choix laissée aux étudiants concernant la profession et la zone géographique du stage, il existe une multitude d’organismes favorables à l’accueil des stagiaires.  Au sein de ma promotion, plusieurs étudiants avaient ainsi pu intégrer des établissements pénitentiaires (dont les centres pénitentiaires de Marseille-Les Baumettes, Luynes à Aix-en-Provence, et Baie-Mahault en Guadeloupe), des juridictions (tribunal judiciaire – pôle de l’application des peines ou de jugement, Parquet, bureau de l’exécution des peines,  des associations (siège de l’Observatoire International des Prisons à Lyon). Débouchés. La formation, bien que spécialiste, permet de déboucher sur plusieurs concours communs au Master 2 Droit pénal. Ainsi, il est possible de présenter, à son issue, l’ensemble des concours accessibles à Bac+5, comme c’est le cas pour le concours de l’École Nationale de la Magistrature ou l’examen d’accès au CRFPA. De plus, du fait de sa spécificité, le parcours « Droit de l’exécution des peines » permet également d’asseoir des connaissances indispensables au passage des concours de la fonction publique (ENAP). Pour ma part, la formation m’a permis de poursuivre mes études en doctorat, et de mener une recherche relative à l’exécution des peines et au milieu pénitentiaire.
Megan ARNAUD
Mes deux années au Magistère m’ont permis d’acquérir d’excellentes bases autant en journalisme qu’en communication. C’est aujourd’hui une donnée essentielle dans mon métier. Avoir cette « double casquette » plaît beaucoup aux employeurs ainsi qu’aux clients : il faut être très polyvalent, comprendre les attentes et les besoins des journalistes, mais également savoir rédiger des articles et supports de communication en plus d’être stratège, organisé et savoir gérer la pression. Le Magistère m’a beaucoup apporté également sur ces derniers points. […]
Megan ARNAUD
Mes deux années au Magistère m’ont permis d’acquérir d’excellentes bases autant en journalisme qu’en communication. C’est aujourd’hui une donnée essentielle dans mon métier. Avoir cette « double casquette » plaît beaucoup aux employeurs ainsi qu’aux clients : il faut être très polyvalent, comprendre les attentes et les besoins des journalistes, mais également savoir rédiger des articles et supports de communication en plus d’être stratège, organisé et savoir gérer la pression. Le Magistère m’a beaucoup apporté également sur ces derniers points. Les cours et surtout les passages en entreprises / rédactions m’ont responsabilisée et fait grandir rapidement. Quand je suis arrivée sur le marché du travail après mes stages, je me sentais prête et légitime. J’ai trouvé du travail tout de suite. Aujourd’hui attachée de presse spécialisée dans la gastronomie - Chefs & Restaurants / Co-fondatrice du podcast « Bande de Food ».
David FAHAM
J’ai choisi d’intégrer en 2017 le Magistère Droit Journalisme et Communication car cette formation allait dans la continuité de mon parcours, une fois sortie de classe préparation ENS D1. Ces trois années ont été très formatrices, à la fois grâce au large spectre de cours proposés : droit, journalisme, économie, communication, marketing… Mais aussi avec les missions « Synergie » propres au Magistère qui permettent de s’immerger dans le monde professionnel à raison d’une fois par semaine. C’est une véritable plus-value pour les étudiants ainsi c […]
David FAHAM
J’ai choisi d’intégrer en 2017 le Magistère Droit Journalisme et Communication car cette formation allait dans la continuité de mon parcours, une fois sortie de classe préparation ENS D1. Ces trois années ont été très formatrices, à la fois grâce au large spectre de cours proposés : droit, journalisme, économie, communication, marketing… Mais aussi avec les missions « Synergie » propres au Magistère qui permettent de s’immerger dans le monde professionnel à raison d’une fois par semaine. C’est une véritable plus-value pour les étudiants ainsi confrontés aux réalités et contraintes du monde du travail. Ces missions m’ont notamment appris à gérer mon stress, avec des prises de parole en public et des échanges réguliers avec des professionnels, hauts fonctionnaires… et des organisations d’événements. Avec d’autres Magistériens, j’ai pu organiser des conférences au sein de la Faculté de Droit, où il fallait présenter les intervenants. Aujourd’hui Chargée Média au sein du groupe publicitaire Havas, la prise de parole en public ne m’intimide plus et tout ce que j’ai appris constitue une vraie force notamment lors des présentations aux clients.
Thibault FRANCESCHET
Le Magistère m’a permis de découvrir et d’apprendre les fondamentaux du métier de journaliste, de découvrir la communication, tout en approfondissant mes connaissances en droit, en histoire et en économie, grâce aux cours communs avec la licence et le master de droit. Des cours très utiles en termes de culture générale qui permettent une meilleure compréhension de nombreux sujets quand on est journaliste. Le tout forme un bon équilibre entre théorie et pratique. Le Magistère m’a bien sûr apporté mes premières expériences professionnelles par le […]
Thibault FRANCESCHET
Le Magistère m’a permis de découvrir et d’apprendre les fondamentaux du métier de journaliste, de découvrir la communication, tout en approfondissant mes connaissances en droit, en histoire et en économie, grâce aux cours communs avec la licence et le master de droit. Des cours très utiles en termes de culture générale qui permettent une meilleure compréhension de nombreux sujets quand on est journaliste. Le tout forme un bon équilibre entre théorie et pratique. Le Magistère m’a bien sûr apporté mes premières expériences professionnelles par les stages et les missions Synergie, qui rapidement ont confirmé ma volonté de devenir journaliste, notamment mon premier stage au journal La Provence qui m’a permis de pratiquer très concrètement le métier sur le terrain. Le nombre de stages et de missions permet d’avoir différentes expériences et donc de se rendre compte de ce qui nous plaît le plus, afin de faire les meilleurs choix par la suite. Aujourd’hui, après deux ans d’alternance à France Télévisions, je suis journaliste pigiste pour la chaîne Franceinfo depuis un an et demi.
Clara Le Gal
Je fais partie de la promotion 2019 du M2 FPP. Cette année-là m’aura demandé beaucoup de travail personnel, mais elle aura été très enrichissante. J’ai beaucoup apprécié réaliser le mémoire de recherche. Après le M2, j’ai été admise à l’école des notaires. Cette formation se déroule sur trois ans en alternance. Les enseignements prodigués en M2 me sont aujourd’hui très utiles, tant dans la poursuite de mes études, que professionnellement en stage, parce qu’ils m’ont permis d’acquérir quelques réflexes de fiscaliste.  
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