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Marie Lecourt
L’année de M2 Droit civil et droit international privé fut, pour moi, une année riche et stimulante. Riche d’abord par la variété des matières abordées, laquelle permet d’acquérir une culture juridique solide, aussi bien dans les matières fondamentales que dans des matières plus techniques. Riche aussi par la diversité des entraînements proposés : plaidoiries, « grand oral », écriture d’article, dissertations, mémoire, etc. Au-delà du plaisir de se confronter à des exercices nouveaux et parfois moins académiques, comme la plaidoirie, cela fut a […]
Marie Lecourt
L’année de M2 Droit civil et droit international privé fut, pour moi, une année riche et stimulante. Riche d’abord par la variété des matières abordées, laquelle permet d’acquérir une culture juridique solide, aussi bien dans les matières fondamentales que dans des matières plus techniques. Riche aussi par la diversité des entraînements proposés : plaidoiries, « grand oral », écriture d’article, dissertations, mémoire, etc. Au-delà du plaisir de se confronter à des exercices nouveaux et parfois moins académiques, comme la plaidoirie, cela fut aussi une excellente initiation à de nouvelles méthodologies, et notamment à celle de la recherche en droit, en ce qui me concerne. L’année fut riche, enfin, de l’hétérogénéité des profils rencontrés parmi les professeurs, les conférenciers invités mais aussi parmi les étudiants, puisque ces derniers se destinaient à diverses carrières, de la magistrature au barreau, en passant par la recherche et même le notariat. Loin de proposer un enseignement passif et fastidieux, le Master 2 invite à l’autonomie intellectuelle. Une grande liberté nous a ainsi été laissée dans la préparation des thématiques abordées, avec des propositions de lecture variées. De même, nous avons été constamment invités, en cours, à proposer des réflexions personnelles en dialoguant avec nos professeurs et nos camarades. Quel exercice particulièrement stimulant que d’apprendre à penser par soi-même ! L’exigence intellectuelle de la formation trouve son pendant dans la grande bienveillance et l’humanité du corps professoral, qui a à cœur que chaque étudiant puisse donner le meilleur de lui-même. Je ne peux donc que recommander cette formation aux futurs étudiants et souhaiter à chacun d’y trouver le plaisir que j’y ai pris !  
Nessim Beddiaf
Avant d’intégrer le M2 Droit civil et Droit international privé, je n’étais moi-même pas convaincu de la plus-value intellectuelle d’une année supplémentaire de droit, pensant pragmatiquement avoir fait le tour des matières à préparer pour les concours qui je souhaitais passer. Cependant, après mûre réflexion et discussion auprès de praticiens et d’universitaires, j’ai décidé d’aller au bout de ma formation à la faculté de droit. Cette décision fut heureuse, car j’estime avoir progressé en tant que juriste bien plus qu’au cours de mes quatre pr […]
Nessim Beddiaf
Avant d’intégrer le M2 Droit civil et Droit international privé, je n’étais moi-même pas convaincu de la plus-value intellectuelle d’une année supplémentaire de droit, pensant pragmatiquement avoir fait le tour des matières à préparer pour les concours qui je souhaitais passer. Cependant, après mûre réflexion et discussion auprès de praticiens et d’universitaires, j’ai décidé d’aller au bout de ma formation à la faculté de droit. Cette décision fut heureuse, car j’estime avoir progressé en tant que juriste bien plus qu’au cours de mes quatre précédentes années. En effet, le parcours jusqu’au M1 permet d’acquérir un matériau brut, des connaissances sur le droit. Il est également le chemin de l’apprentissage du raisonnement juridique. En revanche, le M2 est le lieu de l’approfondissement. Que faire avec ces connaissances accumulées ? Au cours de cette année, j’ai appris à prendre de la hauteur et du recul sur le droit, à réfléchir plus avant sur le sens des réformes et sur l’esprit des lois, mais également à réellement disserter, avec un degré de compréhension que je n’imaginais pas jusqu’alors. Par ailleurs, le M2 a été l’occasion de rédiger un mémoire, le point d’orgue de mon cursus universitaire. Ce travail a été l’occasion d’éprouver et d’améliorer mes méthodes de recherche juridique, mais également d’en trouver de nouvelles, et j’en sors assurément grandi. S’il est une certitude, c’est que je suis meilleur juriste qu’à l’issue de mon M1, et que j’ai acquis des armes qui me seront précieuses pour la préparation de mon concours. Le M2, tout du moins celui dont j’ai eu l’honneur d’être étudiant constitue ce que la faculté a de meilleur à offrir, puisqu’il permet à ceux qui aiment la matière juridique au plus profond d’eux-mêmes de découvrir une autre facette du droit, d’être stimulés intellectuellement et d’avoir une relation privilégiée avec les enseignants, puisqu’un nombre restreint d’étudiants favorise une proximité qui n’est malheureusement pas permise dans un amphithéâtre. En effet, en plus d’être tous plus compétents les uns que les autres, les intervenants sont tous d’une grande bienveillance, et ont à cœur de discuter du droit avec leurs étudiants. Je regrette toutefois que la situation sanitaire ait entachée cette année en imposant une période de distanciel, en espérant des jours meilleurs pour les promotions suivantes.
Lisa Cornet
Si mes quatre premières années de droit ont été très enrichissantes, l’année du M2 m’a véritablement permis de parachever ma construction de juriste. Cette année de M2 m’a permis d’acquérir une certaine hauteur sur mes connaissances académiques, permettant une mise en pratique pragmatique de celles-ci. Cette mise en pratique a été rendue possible par la manière de travailler des Professeurs et sur les exercices proposés. A ce titre, entre autres, le choix de procéder à des procès fictifs qui nécessitent de travailler sur une véritable décision […]
Lisa Cornet
Si mes quatre premières années de droit ont été très enrichissantes, l’année du M2 m’a véritablement permis de parachever ma construction de juriste. Cette année de M2 m’a permis d’acquérir une certaine hauteur sur mes connaissances académiques, permettant une mise en pratique pragmatique de celles-ci. Cette mise en pratique a été rendue possible par la manière de travailler des Professeurs et sur les exercices proposés. A ce titre, entre autres, le choix de procéder à des procès fictifs qui nécessitent de travailler sur une véritable décision de justice (ou défense) et qui requièrent aussi un véritable travail à l’oral ; mais aussi le choix de différents sujets transversaux, à l’écrit et à l’oral, où il ne s’agissait plus simplement de procéder à une simple récitation, mais d’avoir véritable réflexion et une certaine qualité rédactionnelle ou oratoire, et méthodologique. Plus encore, cette année de M2 a été l’occasion de faire un stage d’une durée suffisamment longue pour prendre conscience du terrain, de voir à l’œuvre des praticiens du droit, de comprendre la nécessité de prendre du recul sur mes connaissances, de les appliquer sans les cloisonner dans des matières. Et, sur ce point, je tiens à souligner la bienveillance du corps enseignant sans qui je n’aurai pas pu obtenir un stage d’une si grande qualité. Enfin, cette année de M2 a été alimentée par la présence de plusieurs intervenants (acteurs, avocats, …) qui, encore une fois, nous ont permis de prendre conscience de certaines réalités de terrain. La qualité des intervenants s’est davantage fait ressentir que l’effectif de notre classe était réduit, ce qui favorise une certaine proximité que l’on ne retrouve pas en amphithéâtre.
Fiona Hilaire
À l’issue de mon Master 1, mon choix s’est naturellement porté sur le Master 2 anciennement intitulé « Droit privé fondamental ». Souhaitant embrasser la carrière d’avocate, ce Master codirigé par les Professeurs Anne Leborgne et Jean-Baptiste Donnier répondait à toutes mes attentes. Les matières dispensées dans le cadre cette formation recoupaient parfaitement le programme de l’examen d’entrée du CRFPA. Le Master 2 proposait, en effet, un approfondissement dans les matières fondamentales du droit privé à l’instar du droit des obligations ou du […]
Fiona Hilaire
À l’issue de mon Master 1, mon choix s’est naturellement porté sur le Master 2 anciennement intitulé « Droit privé fondamental ». Souhaitant embrasser la carrière d’avocate, ce Master codirigé par les Professeurs Anne Leborgne et Jean-Baptiste Donnier répondait à toutes mes attentes. Les matières dispensées dans le cadre cette formation recoupaient parfaitement le programme de l’examen d’entrée du CRFPA. Le Master 2 proposait, en effet, un approfondissement dans les matières fondamentales du droit privé à l’instar du droit des obligations ou du droit de la famille. Pour autant, ces enseignements théoriques étaient complétés d’une vision pratique puisque des professionnels (magistrats, avocats et médiateurs) intervenaient également pour nous livrer leurs expériences quotidiennes. Cette ambivalence me paraissait être un atout majeur pour mener à bien mon projet professionnel. Cependant, l’approfondissement de la recherche personnelle – notamment dans le cadre du mémoire – combiné à la richesse des enseignements dispensés par l’ensemble de l’équipe enseignante m’ont permis de développer un attrait certain pour la recherche. Cette appétence a d’ailleurs été telle, qu’elle m’a conduite à poursuive mon cursus vers une thèse de doctorat sous la direction du Professeur Gwendoline Lardeux, enseignante au sein du Master 2. L’encadrement et l’accompagnement ne se sont d’ailleurs pas limités à l’année universitaire elle-même puisque depuis lors, je dispense la majorité de mes travaux dirigés pour les enseignants du Master 2. Si mon parcours personnel s’est orienté vers la recherche, mes anciens camarades de promotion ont réussi dans des domaines divers (avocats, magistrats, juristes, etc.) signant ainsi la multiplicité des débouchés qu’offre cette formation. Si cette année était à refaire, je choisirai, à nouveau et sans l’ombre d’un doute, le Master 2 « Droit privé fondamental » désormais intitulé « Droit civil et droit international privé.
Alexandra Bouscavert, Doctorante au LDPSC
Issue de la promotion 2016-2017, je garde un excellent souvenir de cette année universitaire. Ce fût tout d’abord une année d’orientation décisive. Après un M1 Droit privé et sciences criminelles j’hésitais entre deux parcours professionnels : la magistrature et le doctorat. Le M2 Droit civil et international privé (autrefois Droit privé fondamental) m’a permis de faire un choix sans me fermer de porte. La diversité et la qualité des enseignements proposés m’ont en effet permis de renforcer mes connaissances en droit civil, qui est une part imp […]
Alexandra Bouscavert, Doctorante au LDPSC
Issue de la promotion 2016-2017, je garde un excellent souvenir de cette année universitaire. Ce fût tout d’abord une année d’orientation décisive. Après un M1 Droit privé et sciences criminelles j’hésitais entre deux parcours professionnels : la magistrature et le doctorat. Le M2 Droit civil et international privé (autrefois Droit privé fondamental) m’a permis de faire un choix sans me fermer de porte. La diversité et la qualité des enseignements proposés m’ont en effet permis de renforcer mes connaissances en droit civil, qui est une part importante du programme du concours d’entrée à l’ENM. Par ailleurs la rédaction de rapports de recherche et en particulier d’un mémoire m’a permis de confirmer mon goût pour la recherche et m’a finalement convaincue de m’inscrire en thèse. Ce fût aussi une année très enrichissante sur le plan intellectuel. Les cours sont très complets, souvent axés sur une ou deux problématiques ce qui permet de développer ses connaissances sur des thématiques précises. Ils sont à la fois théoriques, reprenant les notions essentielles de la matière, et pratiques, donnant lieu à des exercices divers : séances d’actualisation de la jurisprudence, cas pratiques, procès fictifs...etc. Beaucoup de temps personnel doit être consacré à la préparation des séances mais cela donne l’occasion de faire de nombreuses lectures et de renforcer sa culture juridique. C’est notamment ce qui donne sa valeur à cette année universitaire. Par ailleurs la participation orale est facilitée par l’effectif réduit, ce qui donne lieu à de riches discussions avec les enseignants et au sein de la promotion. Rétrospectivement, il s’agit de la meilleure année que j’ai passé à l’université et je remercie très sincèrement les enseignants du M2 pour leur bienveillance et leur disponibilité.
Servane Le Dû
Mon année de Master 2 de Droit public fondamental à Aix-en-Provence fut à la fois épanouissante et instructive. Épanouissante, tout d’abord, en raison des liens entre camarades venant de tous horizons qui peuvent être tissés très facilement au sein d’une petite promotion, mais également grâce aux séminaires où les interactions avec les professeurs sont privilégiées. Instructive, ensuite, puisque les excellents enseignements de droit public qui y sont dispensés, englobant tant la théorie du droit que la pratique du droit public, m’ont permis […]
Servane Le Dû
Mon année de Master 2 de Droit public fondamental à Aix-en-Provence fut à la fois épanouissante et instructive. Épanouissante, tout d’abord, en raison des liens entre camarades venant de tous horizons qui peuvent être tissés très facilement au sein d’une petite promotion, mais également grâce aux séminaires où les interactions avec les professeurs sont privilégiées. Instructive, ensuite, puisque les excellents enseignements de droit public qui y sont dispensés, englobant tant la théorie du droit que la pratique du droit public, m’ont permis d’affiner mes compétences en tant que juriste. Je fus personnellement séduite par les enseignements théoriques qui manquaient à ma formation et qui, pourtant, aident à forger et solidifier notre connaissance même du Droit. Au-delà de l’apprentissage, cette année a également été pour moi celle de l’ouverture d’esprit et de l’acquisition d’une solide culture juridique, indispensable à tout bon juriste en devenir. Grâce à tout cela, j’ai finalement pu obtenir un contrat doctoral afin de poursuivre en thèse au sein de l’Institut Louis Favoreu à Aix-en-Provence.
Hélène Meurin, Doctorante contractuelle en Droit public
Après avoir suivi l’ensemble de ma formation à l’Université Paris I Panthéon-Sorbonne, j’ai choisi d'intégrer le M2 DPF au sein de l’Université Aix-Marseille. C’est la voie optimale si l’on souhaite poursuivre en thèse, ou simplement se poser des questions sur ce que l’on fait dans la branche juridique. Il s’agit de devenir acteur et de donner de la profondeur à son activité de juriste. On amène l’étudiant à s’interroger : qu’est-ce que le droit ? Quelles sont les implications et les postulats de tel ou tel raisonnement juridique ? Qu’est-ce qu […]
Hélène Meurin, Doctorante contractuelle en Droit public
Après avoir suivi l’ensemble de ma formation à l’Université Paris I Panthéon-Sorbonne, j’ai choisi d'intégrer le M2 DPF au sein de l’Université Aix-Marseille. C’est la voie optimale si l’on souhaite poursuivre en thèse, ou simplement se poser des questions sur ce que l’on fait dans la branche juridique. Il s’agit de devenir acteur et de donner de la profondeur à son activité de juriste. On amène l’étudiant à s’interroger : qu’est-ce que le droit ? Quelles sont les implications et les postulats de tel ou tel raisonnement juridique ? Qu’est-ce que JE pense sur ces points ?   En parallèle, des considérations plus matérielles rendent l’année agréable à vivre. Le découpage est le suivant : S1 cours et partiels, S2 mémoire ou stage. Lors du premier semestre, au moins deux jours sont « libres » par semaine, ce qui est un temps précieux pour le travail personnel. Cela rend également possible l’avancée sur le mémoire/la recherche de stage, ou un éventuel travail étudiant en complément.  Si l’on synthétise : ce M2 vous apprendra d’une part à vous armer pour nourrir vos propres réflexions, et d’autre part à vous autonomiser dans votre travail. N'hésitez pas à contacter l'Association des étudiants de l'ILF si vous avez des questions !

Justice linguistique - Université Paris I – Webinaire « La langue du procès international »

Le régime linguistique de l’Union européenne est unique au monde. Visé laconiquement par le traité de Rome (v. article 211 CEE, devenu 342 FUE), il fait l’objet du premier règlement du Conseil (1/58) adopté le 15 avril 1958. Le texte n’a pas varié depuis, si ce n’est dans le nombre de langues officielles et de langues de travail qu’il consacre (de 4 à l’origine, elles sont 24 aujourd’hui). La stabilité n’est qu’apparente, toutefois, et elle est moins la marque d’un réel accord sur les pratiques suivies que de la difficulté à s’entendre sur un autre système.

Semaine de débats (streaming) « Justice pour l’environnement »

Mission de recherche Droit et justice – Semaine de débats (streaming)  « Justice pour l’environnement »  du 5 au 9 octobre 2020 - Paris.

Annonce, programme, ressources en ligne et conditions de participation consultables  sur le site de la Mission de recherche « Droit et Justice » (« à la Une  » puis « lire la suite ») à partir du lien ci-après :

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